"Nos œuvres vivent loin de nous dans leurs vergers d'éclairs."
Chronique IV
Œuvre poétique
L'œuvre en prose
-
Cycle Antillais :
Éloges,
Écrit
sur la Porte, Images à Crusoé, Pour fêter une enfance
1911-1925-1948
(d’abord sous le nom de Saintleger Leger)
La
Gloire des Rois
: Récitation à l’éloge d’une Reine, Histoire du Régent
1911-1925
-
Cycle Asiatique :
Anabase
1924
(première
œuvre signée Saint-John Perse)
La
Gloire des rois :
Amitié
du Prince, Chanson du Présomptif, Berceuse
1925-1948
-
Cycle Américain :
Exil,
Pluies, Neiges, Poème à l'Etrangère
1944
Vents
1946
Amers
1957
-
Cycle Provençal :
Chronique
1960
Oiseaux
1962
Chanté
par Celle qui fut là
1969
Chant
pour un équinoxe 1971
Nocturne
1973
Sécheresse
1974
Poèmes
épars
Des
Villes sur trois modes
daté
de 1906, publié dans Pan,
juillet-août 1908, et réécrit pour la
« Pléiade ».
L’Incertain
signé
Just-Alexis Léger daté de mai 1907 et publié en 2001 par Claude Thiébaut dans
Modernité
de Saint-John Perse ?,
actes du colloque de Besançon, Catherine Mayaux dir., Besançon, Presses
universitaires franc-comtoises, 2001.
L’Animale
daté
de juin 1907, publié par Albert Henry dans
Cahiers Saint-John Perse,
n° 4, Paris, Gallimard, 1981.
Cohorte
ou
Pour
fêter des oiseaux
daté
de 1907, retiré de La
Nouvelle Revue Française
en 1911 et réécrit pour la « Pléiade ».
Dernier
aveu
publié
en 1908 dans Fleurs
tropicales, une
anthologie de poètes de la Guadeloupe
éditée
par Oruno Lara.
Désir
de créole
publié en mars 1908 par Oruno Lara dans La Guadeloupe littéraire
puis par Edmond Dupland dans Saint-John
Perse, antillanité et universalité,
Henriette Levillain et Mireille Sacotte dir., Paris, Éditions caribéennes,
1988.
Poème
pour Valery Larbaud
daté de 1922, publié dans
Intentions en
1925, puis dans la « Pléiade »
Traductions
Pythiques
de Pindare
[I, III, XII]
daté de 1906 et réécrit en partie pour la « Pléiade »,
reproduit en partie dans Cahiers
Saint-John Perse,
n° 5, Paris, Gallimard, 1982 et dans Françoise E. E. Henry,
Saint-Leger Leger traducteur de Pindare,
Paris, Gallimard, 1986.
Aumône
aux hommes de peu de poids
d’après
T. S. Eliot, publié dans
Commerce
en 1924 puis dans la « Pléiade ».
Sur
une peinture d’un bonze zen de la période Tokugawa
publié
dans
Honneur à Saint-John Perse, Paris, Gallimard, 1965.
L'œuvre poétique de Saint-John Perse est disponible en 3 volumes dans la collection de poche Poésie aux Éditions Gallimard. Elle était déjà parue en 1953 (tome I) et 1960 (tome 2) chez le même éditeur. Les poèmes avaient auparavant fait l'objet d'une publication indépendante en volume, le plus souvent à Paris chez Gallimard. La date indiquée correspond à l'édition originale du texte.
Notons que le recueil Éloges offre une construction complexe, bâtie au fil d'éditions successives. C'est également le cas du recueil voisin La Gloire des Rois, ouvrage composite associant des textes d'inspiration antillaise ou asiatique. Les quatre derniers poèmes de Saint-John Perse ont été publiés sous la forme d'un recueil posthume en 1975 sous le titre Chant pour un équinoxe.
L'œuvre